La V1 – version 1 de certification des établissements

Certification HAS V1 (2000 – 2004)

🎯 Objectifs et contexte

La V1 marque les débuts officiels de la certification des établissements de santé en France. L’objectif principal était d’initier une culture qualité, sans sanction ni hiérarchie stricte des exigences.

Elle s’inscrit dans un contexte post-crise sanitaire (sang contaminé, canicule, etc.), où la transparence et la qualité deviennent des enjeux nationaux.


Certification HAS – Version V1 (2000 – 2004)

Contexte et objectifs

La version 1 de la certification a été mise en œuvre dans un contexte de prise de conscience de l’importance de la qualité et de la sécurité des soins. L’objectif principal était l’introduction progressive d’une culture qualité dans les établissements de santé. Il ne s’agissait pas d’un audit normatif, mais d’une évaluation descriptive et formative.

Exemple concret : Un établissement pouvait être certifié même en l’absence de politiques qualité structurées, du moment que l’intention de s’améliorer était démontrée.


Structure du référentiel

Le référentiel était organisé en 6 chapitres :

    1. Projet d’établissement

    2. Management de la qualité

    3. Dossier patient

    4. Hygiène et sécurité

    5. Droits du patient

    6. Fonctions transversales

Il comprenait environ 100 critères non hiérarchisés, décrits sous forme de constats à vérifier.

Exemple : Le critère sur l’hygiène évoquait la nécessité de disposer de protocoles, mais n’imposait pas leur application systématique ni leur traçabilité.


Nature des critères

    • Pas de critères impératifs.

    • Critères à visée descriptive.

    • Pas d’évaluation chiffrée.

    • Pas de sanction formelle.

Exemple : Un hôpital pouvait être certifié même avec des carences en identitovigilance, à condition de démontrer un plan d’action d’amélioration.


Méthodes d’évaluation

    • Visites d’experts-visiteurs sur 2-3 jours.

    • Observation, entretiens, consultation de documents.

    • Analyse centrée sur la conformité documentaire et les intentions d’amélioration.

Exemple : Une équipe d’experts constatait que la tenue du dossier patient variait selon les services, mais acceptait cette hétérogénéité tant qu’un groupe de travail était mis en place.


Indicateurs associés

    • Aucun indicateur normé.

    • Relevés internes très variables d’un établissement à l’autre :

      • Taux d’infections nosocomiales

      • Suivi du temps de séjour

      • Signalement des événements indésirables

Exemple : Certains établissements mesuraient le taux de protocoles signés dans les blocs opératoires, d’autres se contentaient d’un registre d’incidents papier.


Limites observées

    • Hétérogénéité des pratiques.

    • Faible lisibilité pour les usagers.

    • Absence de pilotage par les résultats.

    • Évaluation trop centrée sur les intentions.

Exemple : Deux établissements de taille équivalente pouvaient recevoir la même décision de certification malgré des écarts très nets de qualité.


Transition vers la V2

Le passage à la V2 répond à trois enjeux :

  • Structurer l’évaluation par des critères impératifs.

  • Responsabiliser les établissements sur la gestion des risques.

  • Introduire des outils de pilotage par les résultats et les indicateurs.

Exemple : La V2 imposera par exemple l’identitovigilance comme critère impératif, avec obligation de traçabilité dans le dossier patient.


Ressources à consulter :

1 – Repères historiques de l’évaluation qualité en santé (PDF)

Synthèse des différentes étapes de l’accréditation à la certification en France, avec référence à la V1 lancée en 1999‑2000.
→ source prevention-medicale.org

2 – Repere ANAES guide 2000

Mentionne la structuration du comité pilote et la première phase d’accréditation.
→ source Haute Autorité de Santé

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défi estival – Evolution de la certification des etablissements

Évolution de la certification HAS des établissements de santé (2000 – 2025)

De l’évaluation descriptive à l’efficience centrée sur le patient

Ligne du temps des versions de certification HAS

V1 (2000–2004)
🎯 Objectif : Initier la démarche qualité hospitalière
🔧 Méthodologie : Auto-évaluation, visite externe, référentiel descriptif
🖼️ Zone illustration : à insérer (ex : icône dossier, soignant…)

V2 (2005–2009)
🎯 Objectif : Intégrer la gestion des risques et les pratiques professionnelles
🔧 Méthodologie : Critères impératifs, EPP, indicateurs qualité
🖼️ Zone illustration : à insérer (ex : icône dossier, soignant…)

V2010 (2010–2014)
🎯 Objectif : Structurer le pilotage qualité, gouvernance renforcée
🔧 Méthodologie : 82 critères, audits internes/externe, analyse des processus
🖼️ Zone illustration : à insérer (ex : icône dossier, soignant…)

V2014 (2014–2020)
🎯 Objectif : Alléger les démarches, valoriser les résultats
🔧 Méthodologie : 73 critères, niveaux A/B/C, début du patient traceur
🖼️ Zone illustration : à insérer (ex : icône dossier, soignant…)

V2020 (2021–2025)
🎯 Objectif : Centrer la qualité sur le patient et les résultats
🔧 Méthodologie : 15 objectifs, patient traceur systématique, plateforme numérique
🖼️ Zone illustration : à insérer (ex : icône dossier, soignant…)

 

 

Tableau comparatif des versions

Version Période Objectif principal Spécificités clés
V1 2000–2004 Initier la démarche qualité hospitalière Auto-évaluation, visite externe, référentiel descriptif
V2 2005–2009 Intégrer la gestion des risques et les pratiques professionnelles Critères impératifs, EPP, indicateurs qualité
V2010 2010–2014 Structurer le pilotage qualité, gouvernance renforcée 82 critères, audits internes/externe, analyse des processus
V2014 2014–2020 Alléger les démarches, valoriser les résultats 73 critères, niveaux A/B/C, début du patient traceur
V2020 2021–2025 Centrer la qualité sur le patient et les résultats 15 objectifs, patient traceur systématique, plateforme numérique

 

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Defi estival -La certification HAS des origines à la Version actuelle

Par ce défi, nous allons remonter le cours de l’Histoire de la certification des établissements des denier jours de l’ANAES à l’actualité de la certification version 6 de l’HAS. de2025.

L’idée qui prédomine est de faire un comparatif sur les actions entreprises dans les années 2000 2010 2020 et d’identifier les évolutions et analyser celles ci.

Vous êtes prêts ? Allons y – il faut remonter aux années 2000 .

La HAS haute autorité de santé, n’existait encore pas . L’ANAES vivait se derniers jours et avait édité une énorme document concernant la qualité des soins .

le document ci joint fait partie des références qui ont construit les bases de ce qui deviendra la certification des établissements de santé.

Ce texte écrit par l’anaes présente:

LES RÉFÉRENTIELS D’ÉVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES BASE MÉTHODOLOGIQUE POUR LEUR RÉALISATION EN FRANCE

cliquez dessus et vous obtiendrez le document de l’anaes.

bonne lecture  et vos remarques sont les bienvenues

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Ségur numérique: le SNPHPU demande d’intégrer les PUI à la concertation

 le SNPHPU demande d’intégrer les PUI à la concertation

PARIS (TICsanté) – Le Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers et praticiens hospitaliers universitaires (SNPHPU) a demandé que la profession pharmaceutique hospitalière soit intégrée à la concertation de la vague 2 du Ségur du numérique en santé, dans un communiqué diffusé fin octobre.

La concertation pour la vague 2 du financement des systèmes d’information en santé du Ségur numérique a été lancée en octobre, rappelle-t-on.

Le SNPHPU déplore que les pharmacies à usage intérieur (PUI) soient « encore une fois oubliées », à l’occasion de la tenue de son conseil d’administration jeudi 20 octobre. « A l’heure où certaines spécialités suspendent leur participation au Ségur numérique, le SNPHPU demande la prise en compte des besoins des PUI. »

« La vague 2 doit permettre de poursuivre l’effort de montée en qualité des logiciels des professionnels de santé. Sont concernés les logiciels de gestion des cabinets médicaux, les laboratoires et les officines pour les pharmaciens de ville. Ne semblent pas rentrer dans le périmètre les logiciels métiers des PUI », observe le syndicat.

Il rappelle « le rôle crucial » des PUI dans les établissements hospitaliers qui s’appuie de plus en plus sur des besoins en matériels informatiques et en logiciels spécifiques.

« C’est bien parce que la compétence des équipes pharmaceutiques est reconnue au niveau informatique, que celles-ci sont associées aux travaux relatifs à l’informatique hospitalière et initiés dans les établissements, comme au niveau régional ou national », relève l’organisation, citant la participation de la profession à la rédaction des référentiels de la Haute autorité de santé (HAS) des logiciels d’aide à la prescription (LAP) et des logiciels d’aide à la dispensation (LAD).

L’obligation récente de contrôle des dispositifs de sécurité des médicaments -la sérialisation- a contraint un peu plus les PUI à l’utilisation des outils informatiques, au profit premier des patients, en garantissant l’origine et la qualité des médicaments dispensés. La mise en place de ces outils informatiques tarde par l’absence de budget identifié pour ces nouvelles missions, ajoute le SNPHPU.

L’arrivée de nouvelles obligations de traçabilité concernant les dispositifs médicaux implantables (DMI) « enfonce le clou sur la nécessité de disposer de matériels et de logiciels utilisables par la PUI et les équipes des blocs opératoires ».

La mise en place de l’e-prescription en ville ne doit pas oublier que de nombreuses prescriptions hospitalières exécutées en ville (PHEV) sortiront des systèmes informatiques hospitaliers (SIH). Un accompagnement budgétaire sera nécessaire également, poursuit le syndicat.

« La liste des tâches informatiques des PUI est longue et toutes les opérations pharmaceutiques réalisées par les équipes de PUI ne peuvent aujourd’hui plus être faites sans un environnement informatique adapté, réactif, anticipant les besoins à court comme à moyen terme. »

Les PUI sont « des maillons et des interfaces indispensables au fonctionnement des établissements de santé avec un panel d’activités très large qui augmente régulièrement », défend le SNPHPU.

Il fait valoir que la gestion financière liée à l’approvisionnement et à la dispensation des médicaments et dispositifs médicaux stériles, le volet pharmacie clinique en pleine croissance, l’éducation thérapeutique des patients et les conseils de bon usage, la production et la fabrication de médicaments et dispositifs médicaux stériles, ne peuvent être de qualité sans un SIH lui aussi de qualité, et en l’espèce, équipant les PUI.

Pour toutes ces raisons, le syndicat demande qu’une enveloppe spécifique soit allouée à l’informatique des PUI. « Ce budget appelé de nos vœux devra permettre d’améliorer la structuration des besoins informatiques particuliers des PUI. »

Cette fonction multifacettes des PUI « ne peut continuer à se satisfaire de patchworks qui parfois relèvent de l’artisanat ou de la rustine, quand l’interopérabilité, l’automatisation et la cybersécurité devraient être des éléments incontournables de l’élaboration des SIH pharmaceutiques ».

« Le modèle actuel ‘shadokien’ est source grandissante et contre-productrice de détournements, faute d’ergonomie ou de conception initiale, vers des tâches administratives redondantes, au détriment des missions premières et régaliennes alors que la raréfaction des moyens humains bloque le fonctionnement des établissements de santé. »

Sylvie Lapostolle**Qui est le SNPHPU
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AINS- le diclofénac – comment un traitement vétérinaire peut il tuer?

 

Quand un médicament vétérinaire décime les vautours : l’histoire méconnue du diclofénac en Asie

Introduction

Saviez-vous qu’un simple anti-inflammatoire administré à des bovins a provoqué la quasi-disparition des vautours dans plusieurs pays d’Asie du Sud ? Le diclofénac, molécule bien connue des pharmaciens, est au cœur d’une tragédie écologique majeure. Cet article explore cette crise sanitaire et environnementale, en montrant comment une décision médicamenteuse peut bouleverser un écosystème entier.

1. Le diclofénac : un médicament vétérinaire courant

Le diclofénac est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) largement utilisé en médecine humaine pour ses effets analgésiques et anti-inflammatoires. Dans les années 1990, son usage s’est répandu en médecine vétérinaire, notamment au Pakistan, en Inde et au Népal, pour soulager les douleurs des animaux d’élevage comme les vaches et les buffles. Ce médicament était efficace, peu coûteux, et facilement disponible.

 

2. Une tragédie écologique silencieuse

Les vautours, essentiels à l’équilibre de ces écosystèmes, se nourrissent des carcasses d’animaux. En consommant les restes de bétail traité au diclofénac, ils ingèrent la molécule résiduelle, hautement toxique pour eux. En quelques jours, l’oiseau développe une insuffisance rénale aiguë et meurt. En moins de 10 ans, certaines espèces de vautours ont vu leur population chuter de plus de 99 %.

 

Ce déclin a eu des conséquences en chaîne : les carcasses délaissées ont attiré chiens errants et rongeurs, vecteurs de maladies comme la rage. L’impact sur la santé publique a été considérable.

Mais d’où vient cette toxicité ? Chez les vautours, la molécule mère (le diclofénac inchangé) s’accumule dans l’organisme, provoquant une nécrose tubulaire aiguë et des dépôts d’urate (goutte viscérale). Contrairement aux mammifères, les vautours ne possèdent pas les enzymes hépatiques nécessaires pour métaboliser correctement le diclofénac. Des métabolites oxydés comme le 4′-hydroxy-diclofénac et le 5-hydroxy-diclofénac, générés via le cytochrome P450 chez d’autres espèces, peuvent aussi contribuer à un stress oxydatif, mais c’est l’incapacité des vautours à éliminer le médicament qui entraîne une toxicité rénale rapide et fatale.

 

3. Une prise de conscience tardive

En 2004, une étude scientifique a formellement identifié le diclofénac comme la cause du déclin massif des vautours. En réaction, l’Inde, le Népal et le Pakistan ont interdit son usage vétérinaire. Des alternatives comme le méloxicam, non toxique pour les vautours, ont été promues. Pourtant, l’utilisation illégale ou détournée du diclofénac humain pour les animaux persiste dans certaines régions.

4. En tant que pharmacien.ne, que peut-on en tirer ?

Cette affaire met en lumière le concept de « One Health » : la santé humaine, animale et environnementale sont interconnectées. Le rôle du pharmacien ne s’arrête pas à la dispensation : il s’étend à la veille écologique, à la pharmacovigilance et à l’éducation des professionnels et du grand public.

Nous devons rester vigilants sur les conséquences indirectes des médicaments que nous délivrons, surtout en usage vétérinaire. Une molécule peut être bénigne pour une espèce, mais fatale pour une autre. C’est aussi un appel à renforcer les collaborations entre pharmaciens, vétérinaires, écologues et autorités de santé.

Conclusion

Le cas du diclofénac et des vautours est un exemple poignant de l’impact insoupçonné des médicaments sur la biodiversité. Il nous rappelle l’importance d’une approche systémique et responsable dans l’utilisation des produits de santé. En tant que professionnels du médicament, nous avons un rôle clé à jouer pour préserver les équilibres naturels dont dépend aussi notre santé.

LES TRAITEMENTS EN HAD – ALLERGOLOGIE

NOUS LES CLASSERONS PAR CLASSE THERAPEUTIQUE

avec la DCI, le nom commercial et un rubrique destinée aux médecins de HAD soit généralistes, pédiatres, soins palliatifs, néphrologue, psychiatres .

ALLERGOLOGIE

 

DCI

Nom commercial (en France)

Commentaire du pharmacien (Adapté aux spécialités)

Bilastine 20 mg

Bilaxten

Généralistes : Traitement efficace pour la rhinite allergique et l’urticaire chronique. Bien toléré. Neurologues : Antihistaminique non sédatif, adapté pour les patients nécessitant vigilance.

Cétirizine 10 mg

Zyrtec

Pédiatres : Disponible en sirop pour les enfants dès 2 ans. Psychiatres : Peut provoquer de la somnolence, attention chez les patients dépressifs ou anxieux. Soins palliatifs : Alternative en cas d’allergie nécessitant une solution rapide et efficace.

Desloratadine 0,5 mg/ml flacon 150 ml

Aerius sirop

Pédiatres : Antihistaminique non sédatif, adapté dès 1 an. Dose à ajuster selon le poids. Bonne tolérance. Généralistes : Utilisation de choix chez les enfants ou adultes ayant des activités nécessitant vigilance.

Desloratadine 5 mg

Aerius

Neurologues : Bonne option pour les patients présentant des antécédents neurologiques, car non sédatif. Psychiatres : Alternative pour les patients hypersensibles aux sédatifs.

Dexchlorphéniramine 5 mg/ml

Polaramine sirop

Soins palliatifs : Efficace pour des démangeaisons sévères ou une sédation légère si souhaitée. Pédiatres : Prudence en raison du risque de somnolence. À éviter chez les enfants de moins de 2 ans.

Fexofénadine 180 mg

Telfast

Généralistes : Indiqué pour l’urticaire chronique sévère. Interaction avec les jus de fruits à mentionner. Neurologues : Pas de troubles cognitifs ni sédation.

Fexofénadine 120 mg

Telfast

Généralistes : Bonne tolérance pour la rhinite allergique modérée. Psychiatres : Utilisable en cas d’anxiété coexistant avec des allergies, sans aggraver les troubles de vigilance.

Lévocétirizine 5 mg

Xyzall

Soins palliatifs : Peut être utile en cas d’allergies et démangeaisons associées. Pédiatres : Forme adaptée à partir de 6 ans, mais prudence en cas de risque de somnolence. Neurologues : Ajuster en cas d’insuffisance rénale, surveillance recommandée.

 
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BONJOUR

ICI VOUS ALLEZ DECOUVRIR LA PHARMACIE HOSPI -EN HAD,

Elle joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement du système de santé.

Il est crucial de comprendre que la pharmacie hospitalière est organisée autour d’une équipe pluridisciplinaire, comprenant des pharmaciens, des préparateurs en pharmacie spécialisés en PPH, ainsi que des techniciens experts en gestion. Tous collaborent pour assurer une prise en charge optimale des patients.

Le personnel est formé pour gérer une large gamme de médicaments, allant des traitements courants aux thérapies spécialisées, et ils s’assurent que chaque produit est utilisé de manière sécurisée et efficace.

En plus des médicaments, la pharmacie hospitalière détient également des dispositifs médicaux, tels que les appareils de perfusion et les équipements de diagnostic, qui sont essentiels pour le bon déroulement des soins.

Les différents services de la clinique, comme les unités de dialyse médicale, services de médecine, bénéficient d’un approvisionnement constant et adapté en médicaments, garantissant ainsi une réponse rapide aux besoins des patients en toutes circonstances. Vous apprendrez également l’importance de la pharmacovigilance et du suivi des patients pour optimiser les traitements et améliorer les résultats cliniques. Le système de management de la qualité est l’axe pivot de la traçabilité, du respect des process pour limiter les risque d’erreurs et les risques liés au circuit du médicament. Cette phase fera l’objet d’une rubrique à part.

Notre Programme

  1. Organisation
    • Les produits
    • Le circuit du médicament
    • L’équipe et ses objectifs
    • La gestion des produits
  2. La législation
  3. Les actualités
  4. Forum d’échanges
  5. Bibliographie